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Clémence Herkt
Étudiante 2ème année

Clémence
Herkt

En février 2021, j’ai été élue présidente du tennis club de Blériot. En effet, je pratique le tennis depuis l’âge de 4 ans. C’est un sport que j’ai toujours pratiqué en compétition.
4 questions à Clémence, étudiante en communication à l’ISTC en 2A, élue plus jeune présidente d’un club de tennis en France :

« Peux-tu te présenter en quelques mots ? »

Je m’appelle Clémence Herkt, j’ai 20 ans et j’habite à Sangatte, une commune près de Calais. Je suis étudiante en communication à l’ISTC en 2A et en parallèle des études, je suis influenceuse et également présidente du Blériot tennis club.

« Pourquoi l’ISTC ?»

J’ai choisi ISTC, premièrement, pour sa formation très complète et générale. En effet, ISTC est l’une des rares écoles de communication voyant au-delà qu’uniquement la communication. On y apprend beaucoup de thématiques, qui par exemple, par la suite, pourront nous permettre d’ouvrir notre propre entreprise sans trop de difficultés ou de surprises.
De plus, j’ai également choisi ISTC pour l’ambiance qu’elle y dégage. En effet, j’ai été tout de suite séduite par la présentation qualitative et captivante des étudiants de l’ISTC et lors des journées portes ouvertes, l’ensemble de l’administration était super accueillant, chaleureux, à l’écoute… Je me suis directement sentie comme dans une petite famille.
Finalement, la dernière raison qui m’a poussé d’entrée à l’ISTC c’est le diplôme qu’il propose. En effet, l’ISTC propose un diplôme reconnu par l’état ce qui n’est pas le cas de toutes les écoles privées. De plus, ISTC autorise les étudiants boursiers à bénéficier des bourses et ça lorsqu’on est éligible aux bourses c’est une très très bonne nouvelle !

« Nous savons que tu es devenue la plus jeune présidente d’un club de tennis, qu’est-ce que cela représente pour toi ? »

En février 2021, j’ai été élue présidente du tennis club de Blériot. En effet, je pratique le tennis depuis l’âge de 4 ans. C’est un sport que j’ai toujours pratiqué en compétition. Ainsi, j’ai passé beaucoup de temps, de week-end, dans tous les clubs de la région et au-delà. Pour moi, la question de légitimité à me présenter en tant que présidente de club n’était ainsi pas un problème. Je me suis donc présentée et j’ai été très bien accueillie. Tout mon club était très content et fière de moi.
Quelques jours après mon élection, nous avons reçu un message de la fédération française de tennis déclarant que j’étais devenue la plus jeune présidente de club de tennis de France. Cela représente une fierté mais aussi un message motivant et inspirant aux jeunes. Je pense qu’il n’y a pas d’âge ni de sexe prédéfini pour s’investir dans un projet. Si la volonté et l’envie sont présentes, tout peut se réaliser. Ce message est également un message que la fédération française de tennis essaie de transmettre. En effet, j’ai été mise à l’honneur à Roland Garros lors de la journée des présidents de club. J’ai ainsi eu le droit à des petites interviews et une vidéo à mon sujet sur le compte Instagram et YouTube de la FFT. L’objectif de ses interviews était d’inspirer les jeunes mais également de casser la barrière des préjugés sur les présidents de club (sexe, âge…).

« Quels sont tes futurs projets dans le club de tennis de Blériot en tant que présidente ? »

J’ai de nombreuses idées de projets avec le Blériot tennis club. De plus, mes études dans la communication ou bien mon travail en tant qu’influenceuse sont un réel atout pour le BTC. En effet, je suis en pleine réalisation d’un compte Instagram pour le Blériot tennis club. De plus, je peux mettre en œuvre mon apprentissage à l’ISTC pour la communication interne et externe du club.
Mon objectif au sein du BTC est de rajeunir la communication afin d’attirer plus de sponsors mais également de rendre beaucoup plus accessible la visibilité du club pour les personnes extérieures et de garder des moments souvenirs pour les licenciés. En espérant que ce projet me permette par la suite de pouvoir travailler au sein de la communication de la FFT. On croise les doigts hihi !
 

Article publié par Éléonore Leuliette