« Marta, pourquoi le choix de l’ISTC ? »
À la base, je suis venue à l’ISTC car j’étais en Erasmus. Un partenariat existait entre ma Fac en Espagne et cette école en France. Je voulais vraiment poursuivre mes études ici et l’ISTC m’inspirait confiance. Je l’ai aussi choisi parce que c’est l’une des seules écoles de communication qui propose l’alternance dès la première année de Master et cela me semblait très intéressant.
« Des conseils pour les étudiants internationaux ? »
D’après mon expérience, j’avoue que le plus important est d’être en intégration permanente. Les autres sont là pour t’aider, mais c’est vraiment indispensable de prendre sur soi et être courageux. La langue française est merveilleuse mais difficile, il faut pratiquer sans arrêt. Le plus chouette dans cette expérience : c’est la découverte de la culture française en étant immergée dans le pays.
« Quels sont tes prochains objectifs ? »
La communication ouvre un vaste spectre de possibilités. De ce fait, je n’ai pas encore un projet très concret mais je sais que j’aime la musique (et art en général), la créativité et la création graphique, et surtout la communication. Donc, à voir si je réussis à trouver un moyen de combiner tout cela !
« Un commandement parmi les 12 ? »
Justement, je me retrouve dans plusieurs : je suis adepte du « Test and Learn ». Il faut essayer pour savoir si ça fonctionne. Ça me fait penser à un épisode de « How I met Your Mother » où le personnage Lil dit : « There are certain things in life where you know it’s a mistake but you don’t really know it’s a mistake because the only way to know that it really is a mistake is to make that mistake and go, « Yup, that was a mistake ». So really, the bigger mistake would be to not make the mistake because then you’ll go about your whole life not knowing whether it was a mistake or not ». Vraiment inspirante !
En espagnol, on dit souvent : « el que no arriesga, no gana ». C’est à dire, qui ne risque pas, ne gagne rien. Il faut être fort en proposition, se tromper pour apprendre et être courageux. La vie n’est pas faite pour rester dans le conventionnel !