Dans le cadre du cours de Design Thinking en Master 2, les différents groupes ont travaillé sur la thématique de l’Education, notamment de l’accès à l’Education pour les personnes vivant en zones défavorisées et difficiles d’accès.
Retrouvez les meilleurs concepts et prototypes ci-dessous :
Projet 1 (Pauline, Adrien, Marie et Firasse) :
« Imaginez vous un petit garçon de 13 ans qui vit dans une zone reculée de la Tunisie. Ce petit garçon, c’est Ahmed, il n’a malheureusement pas eu l’opportunité d’étudier car il n’y a pas d’école là où il vit, et celle qui est le plus proche se trouve à 2h de voiture… Ses parents ne peuvent pas l’y emmener, et ils ont besoin de lui pour travailler dans le champ familial. Une fois par mois, Ahmed et ses parents se rendent au village pour vendre leurs produits. C’est en observant les autres enfants qu’il se rend compte qu’il aimerait, lui aussi, aller à l’école.
C’est donc pour Ahmed et tous les autres enfants dans son cas que nous avons imaginé le School Truck.
Le School Truck, c’est un camion permettant de répondre aux besoins spécifiques des enfants qui n’ont pas eu la chance d’être scolarisés. Ils ne peuvent pas se rendre à l’école ? Alors, c’est l’école qui se rendra chez eux.
Nos objectifs sont clairs :
scolariser, en permettant aux enfants d’apprendre à lire, écrire et compter
sociabiliser, en favorisant les rencontres
et enfin, sur le long terme, améliorer les conditions de vie en permettant aux populations de développer leur territoire.
Concrètement le school truck, c’est quoi ? C’est un camion aménagé en salle de classe. C’est un véhicule qui circule dans les zones reculées de la Tunisie et qui s’adapte à différentes contraintes :
l’âge des enfants
leurs disponibilités
l’emplacement des maisons.
Les enseignants sont quant à eux soit des professeurs tunisiens, soit des bénévoles issus de missions solidaires. Nous avons besoin, membres de l’UNICEF, de votre soutien afin de réaliser ce projet et ainsi permettre à Ahmed, mais aussi Yamina, Joao Baptisto et bien d’autres enfants d’accéder à une scolarité. »
Projet 2 (Anthony, Charlotte, Jean-Baptiste et Iroise) :
« Notre groupe a travaillé sur la thématique de l’Education, notamment de l’accès à l’Education pour les personnes vivants en zones défavorisées et difficiles d’accès. Nous avons construit notre projet en nous centrant sur les jeunes enfants des Favelas de Sao Paolo. Au Brésil, l’éducation est obligatoire pendant 8 ans. Les jeunes des favelas commencent à travailler entre 11 et 14 ans pour pouvoir aider financièrement leurs parents qui sont pour la majorité sans emplois.
Néanmoins, certains enfants aimeraient pouvoir poursuivre leurs études, mais les établissements de formation ferment de plus en plus dans les quartiers dévaforisés, sont trop loin de leur domicile ou sont trop chers car issus du domaine privé. Nous avons cherché un moyen de leur apporter un système éducatif qui leur permette d’obtenir un diplôme de niveau Brevet, sans avoir les contraintes auxquelles ils sont confrontés tous les jours.
Nous avons prototypé la LearnBox, un programme éducatif et interactif, qui fonctionne par commande vocale et système de projection sur un mur. Différents cours sont proposés, conformément au programme éducatif de l’Education Nationale du Brésil. Un professeur est attitré à l’élève et suit virtuellement sa progression. Chaque format de cours de 30 min se termine par un quizz qui permet à l’élève de valider une première étape et passer au niveau supérieur. Lorsque l’ensemble des quizz est validé, l’élève s’assure d’avoir un diplôme de niveau Brevet, qu’il devra aller récupérer dans un établissement scolaire proche de son domicile. »
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Projet 3, sur une toute autre thématique (Florence, Camille, Gaëtan, Agathe, Claire) :
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« Le but principal de ce projet était de répondre à une problématique dans le domaine de la Foodtech qui était de trouver une alternative éco-responsable face aux moyens de production agro-alimentaire. Nous avons alors réalisé la maquette de notre projet « Easy Farm ».
Easy Farm, c’est une ferme connectée et éco-responsable, qui fonctionne sur le principe de l’économie circulaire. Elle est dotée de plusieurs installations innovantes et technologiques qui seront personnalisées selon les besoins des agriculteurs, comme par exemple un drone connecté à la forme d’un nuage ou encore « coquelitech » un robot ayant pour but de récolter le miel des ruches. »
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