4 questions à Aurélien Lemarquier, diplômé ISTC en 2006, aujourd’hui Directeur de l’agence parisienne Rouge Interactif :
Aurélien, pourquoi le choix de l’ISTC ?
À la sortie du lycée j’étais très branché sciences, je me suis donc orienté vers des études mêlant à la fois commerce et biologie pendant 4 ans. À mon retour, je me suis rendu compte qu’il me manquait cette « brique » communication. C’est ainsi que j’ai intégré l’ISTC. Ça m’a beaucoup plu.
J’ai ensuite intégré une agence de marketing et communication spécialisée en agro-alimentaire. Puis, j’ai trouvé un emploi atypique puisqu’il concernait le sport automobile, plus particulièrement la F1. Pendant 3 ans, j’ai ainsi arpenté les paddocks de course en travaillant pour des pilotes, des écuries et des sponsors sur des actions de communication, marketing et management sportif.
Pas trop dur de quitter la F1 ?
Un jour j’ai eu envie de changement. L’interactivité que propose le digital m’a vite amené à orienter mes actions vers ses canaux. C’est ainsi que j’ai quitté la bulle sportive pour me concentrer sur le marketing digital qui projetait tant d’opportunités. Cela fait maintenant 5 ans que je travaille chez Rouge Interactif, l’agence de Marketing Digital qui appartient au groupe Pictime composé de 200 personnes.
Pourquoi avoir craqué pour Rouge Interactif ?
C’est un avantage puisque cette structure peut être aussi agile qu’une start-up tout en bénéficiant du soutien d’un groupe en termes de moyens. Cela est propice à développer les initiatives. J’y ai démarré en tant que chef de projet e-marketing pour évoluer progressivement vers des missions de consulting et de direction de compte. Je suis maintenant Directeur de l’agence parisienne, j’en gère les clients, la structure et les personnes qui la composent.
Des souvenirs marquants ?
Aujourd’hui encore, j’aime me remémorer l’appel d’offre que nous avons remporté sur une célèbre marque. Il s’agissait du plus gros contrat jamais signé par notre équipe parisienne. Nous y avions mis force et conviction pour le remporter contre de grosses agences. Rouge Interactif était le challenger qu’on ne craignait pas et qui a finalement remporté la compétition. Nous étions en quelque sorte comme David qui avait vaincu Goliath.